
Parfois, je traîne sur ton blog par nostalgie.
Nostalgie de ton univers, nostalgie de tes mots, nostalgie de ton âme qui vibrait à l’unisson de la mienne.
J’essaie d’y deviner ton état d’esprit, espérant, mais sans trop y croire, que tu penserais encore un peu à moi.
Mais, je n’y lis rien. Il n’y a que ta façade nue et cette carapace opaque que tu t’es forgée pour ne plus souffrir.
Et je ne peux avoir que des regrets pour ce qui aurait pu et des remords pour ce qui fut.
Et je n’ai que des soupirs pour les mots que je ne t’ai pas dis et des larmes pour ceux que tu n’as pas compris.